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Alt 06-18-2021, 09:34 PM   #1
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Standart Bab El Oued

Bab El OuedMa montre indiquait 21h30 lorsque je terminai ma tournée du soir, et comme je traversais Marcigny pour rejoindre ma maison, j?aperçut de la lumière à l'épicerie de celui que tous ici avaient surnommé *quot;Bab-El-Oued*quot;. Ce n'était pas son véritable prénom mais les gens du coin n'allaient certainement pas s'embarrasser à apprendre un prénom étranger pour un arabe ! ... Même si celui ci leur rendait souvent service, car avant qu'il n'arrive cela faisait *quot;belle lurette*quot; qu'il n'y avait plus d'épicerie ouverte le soir ou les jours fériés au bourg et que les habitants devaient aller jusqu'à Roanne, à plus de 12 km de là pour faire leurs courses après 19 heures. Ils n'avaient pas cessé d'aller au supermarché mais Bab-El-Oued leur rendait bien service lorsqu'ils avaient oublié quelque chose, surtout le soir et le week-end quand tout est fermé, car lui ne fermait quasiment jamais.Bab-El-Oued acceptait tout ceci de bonne grâce... Habitué depuis longtemps à la fermer, il avait compris qu'il n'arriverait à quelque chose qu'en se montrant servile et en *quot;avalant quelques couleuvres*quot; jusqu'au jour où ayant amassé assez d'argent il pourrait retourner honorablement au pays.Comme Roger arrivait de Paris le lendemain pour passer quelques jours avec moi, je me dis que si je pouvais faire mes courses dès ce soir, cela serait bien pratique. J'allai donc frapper à la porte de l'épicerie. Il ne tarda pas à venir, de l'arrière boutique, souriant comme toujours ; cependant je lui trouvai ce soir là un drôle d'air... Il était plus hilare et plus exubérant qu'il ne l'était habituellement. J'achetai diverses choses qu'il entassait progressivement dans un carton... Je le trouvai de plus en plus énervé, volubile, un peu comme s'il avait bu ; pourtant je le croyais musulman et surtout jamais jusque là je ne l'avais vu ainsi.Roger aimait bien la cuisine provençale et j'avais décidé de lui faire une ratatouille ; j'avais déjà acheté poivrons, tomates, courgettes mais lorsque je demandai à Bab-El-Oued, des aubergines, il eut un sourire de plus en plus curieux. Je le vis se diriger vers l'étalage des légumes et en choisir une avec soin.-*quot;Celle ci, elle vous plait-y Mademoiselle ?*quot;-*quot;Euh oui*quot; répondis-je un peu surprise... J'allais lui demander autre chose lorsqu'il insista :-*quot;Elle est assez grosse ?*quot;-*quot;Euh oui...*quot;-*quot;Et assez longue ?*quot;. Cette fois je me dis qu'il devenait fou ! Que voulait dire ce jeu à propos de ces aubergines ? Je le regardai cette fois avec des yeux étonnés. Curieusement, alors que ce n'était pas dans ses habitudes, il soutint mon regard et me dit alors :-*quot;C'est vrai, elle vous plaît?*quot;. Et il ne put s'empêcher de rire.-*quot;Hé dis donc, ca ne va pas? Qu'est-ce qui te prend? Pourquoi me demande tu ça?*quot;. Il rit à nouveau, hésita, puis me dit:-*quot;C'est pour vous faire plaisir(?)*quot;... Je crus qu'il disait qu'il la choisissait tout exprès pour me faire plaisir et je l'en remerciait mais il me corrigea:-*quot;Non, j'disais qu'vous vouliez cette aubergine pour vous faire plaisir Mad'maselle, pas vrai?*quot;-*quot;Quoi!*quot; m'exclamai-je horrifiée, *quot;Qu'est-ce que tu dis? Mais tu es fou, tu as bu!*quot;. Loin d'en rester là, il éclata d'un rire nerveux et me dit:-*quot;Si j'le sais! y paraît qu'vous aimez beaucoup les aubergines!*quot;. Ca ne me faisait pas rire, j'étais livide (car ce qu'il disait n'était pas vraiment faux, mais comment aurait-il pu le savoir?). Je crus que le meilleur parti était de prendre cela à la plaisanterie et je me forçai à sourire.-*quot;Et bien, je ne te savais pas si coquin... Tu es un vrai petit cochon...*quot;. Il rigola...-*quot;Et vous une belle cochonne Mad'maselle...*quot;.A ce moment là, la porte de l'arrière boutique s'ouvrit et deux autres arabes que je ne connaissais pas apparurent, sans doute attirés par le bruit. L'un était un peu l'obèse et l'autre au contraire, très grand et costaud. Lorsqu'il les vit, Bab-El-Oued se mit à plaisanter avec eux en arabe en leur montrant l'aubergine... *quot;Oh non! Il ne pouvait pas... Il n'allait pas leur raconter...*quot;!!! Mais à leurs sourires, je n'eus bientôt plus d'illusion à me faire. Je ne reconnaissais plus Bab-El-Oued, lui d'habitude si gentil, si prévenant et discret... Discret oui c'était vrai, il l'était; jamais il ne m'avait fait de commentaire sur certains de ses clients mais il me revint soudain en mémoire que je l'avais vu à plusieurs reprises tendre une oreille attentive aux ragots qu'il entendait dans sa boutique... Il ne disait rien mais il *quot;enregistrait*quot;... Et ce soir là, sans aucun doute sous l'effet de l'alcool auquel il était peu habitué, il ne pouvait s'empêcher...-*quot;Allez Mam'selle, tout le monde le sait au village...*quot;. Je blêmis davantage.-*quot;Quoi? Que dis-tu?... Qu'est-ce qui se sait?*quot;-*quot;Que t'y es une petite salope! Tous les hommes le disent...*quot;-*quot;Ce sont des menteurs... Ce n'est pas vrai...*quot;-*quot;Si c'est vrai... On t'a vue plusieurs fois, et moi j'y ai même vu des photos de toi!*quot;... Mon c?ur se serra... Les photos qu'avait fait Laville!!! (voir récit correspondant)... Lui aussi les avaient vues... Cette histoire n'en finissait pas... Mais à combien d'hommes de la région les avait il montrées?... La honte m'envahit... Ces photos étaient si cochonnes, j'y étais exhibée si totalement, si intimement... Et sur certaines avec ces gros godes... Oh non!!! Bab-El-Oued vit à mon visage qu'il avait touché juste.-*quot;Dis t'y vas nous montrer avec l'aubergine, on veut voir ça!*quot;-*quot;Non, je t'en prie... Je ne t'ai jamais fait de mal, j'ai soigné ta femme, tes enfants... Je t'en prie...*quot;-*quot;Je vous y ai payée pour ça... Il faut payer pour voir aussi?*quot;-*quot;Tu es fou!*quot;-*quot;T'y préfère que je raconte tout ce que je sais sur toi, aux hommes, aux femmes du village?... Ca ferait bien rire...*quot;-*quot;Tu n'es qu'un petit salaud!*quot;-*quot;Et toi une salope! Allez viens y par là, t'y vas nous montrer comment tu t'y mets une aubergine... Personne le saura... Allez*quot;.Il me prit par le bras et m'entraîna dans l'arrière boutique pendant que les deux autres fermaient le rideau de fer de l'épicerie. Je ne m'étais pas trompée, sur la table se trouvaient des verres et une bouteille de pastis aux trois quart vide.-*quot;Allez, t'y vas t'y déshabiller, t'y mettre à poil... T'y t'es déjà mis à poil devant des Arabes?... On y aime ça t'y sait... Et t'y va aimer aussi, tu vas voir...*quot;. Comme je restais là, encore un peu choquée et honteuse, il s'impatienta et me dit d'un ton ferme:-*quot;Allez, à poil! Entièrement... Espèce de salope!*quot; (suivi d'ailleurs d'insultes güvenilir bahis en Arabe que je ne compris pas mais dont le sens était évident...C'était le début de l'été, je n'étais pas très vêtue et je me résolus à déboutonner mon corsage bleu à fleurs, leur dévoilant progressivement mon soutien gorge. Un modèle de couleur blanche, que je mettais pour aller travailler, pas particulièrement sexy, mais dont les bonnets de voile assez transparents laissaient néanmoins deviner mes aréoles plutôt larges et foncées... Ils ouvraient de grands yeux, de vraies boules de billard... Très gênée à l'idée d'ôter mon soutien gorge devant eux, je dégrafai lentement ma jupe... Bab-El-Oued s'impatienta:-*quot;Dipêche toi un peu!... T'y vas nous montrer ton cul, tes petits trisors...*quot;. Ils rirent... La jupe était étroite, je le fis glisser le long de mes cuisses. J'avais déjà la peau bronzée et ne portais pas de bas; seulement une culotte brésilienne un peu flottante. J'allais la baisser mais le gros arabe me dit:-*quot;Retire ton soutif!*quot;... Honteuse comme je le suis lorsque je suis contrainte de dévoiler ma poitrine, je dégrafai le soutien gorge. Comme il fallait s'y attendre, mes petits nichons baissèrent d'un pour ne pas dire de deux crans!... C'était là un vrai complexe pour moi; bien qu'ayant des seins assez petits (je suis mince et menue il est vrai: 1,60 m 49 kg mais TP: 85B ) ceux ci étaient déjà, même à cet âge, un peu trop lourds des bouts, un peu trop pendants pour une jeune femme et ils ballottaient comme deux petits flancs... Et autant j'aurais accepté d'avoir des seins pendants si ceux-ci avaient été plus volumineux, autant j'étais complexée d'avoir des petits nichons trop flasques... Comme je m'y attendais d'ailleurs, le gros arabe qui m'avait ordonné d'ôter mon soutien gorge eut un rictus méprisant et dit:-*quot;Pffftt!! R'garde ces p'tites loches qu'y s'ont les Françaises!*quot;. L'autre arabe, le grand, donna même une tape dans ceux ci pour les faire ballotter davantage, et rit de sa plaisanterie. Bab-El-Oued ne me quittait pas des yeux.-*quot;La culotte... R'tire la culotte!*quot; dit-il impatient... Je fis glisser l'élastique de ma culotte sur mes hanches leur dévoilant ma chatte brune, presque noire, très fournie, à la fois épaisse et largement implantée, mais aussi rasée au niveau des lèvres... Lorsqu'ils aperçurent mes lèvres nues, ces lèvres que j'ai plutôt épaisses et charnues, cela parut beaucoup les exciter...-*quot;J'vous l'avais dit que c'y était une salope...*quot; dit Bab-El-Oued, *quot;R'gardez un peu ça!... La Mam'selle y s'y rase la moule...*quot;. De plus en plus excités, ils me poussèrent sans ménagement vers la table sur le bord de laquelle ils me firent m'asseoir, puis m'allongèrent.-*quot;Ouvre tes cuisses! Ecarte les!...*quot; m'ordonna Bab-El-Oued d'un ton de plus en plus autoritaire, *quot;Fais voir par où y t'ont baisée tous ces mecs...*quot;. Et comme je ne m'exécutais sans doute pas assez vite à leur goût, il donna un ordre aux deux autres arabes et ceux-ci me saisirent les jambes pour me les relever et me les écarter... Honteuse et humiliée je résistai bien un peu mais que pouvais-je faire contre eux trois? Ouverte de force je me retrouvai totalement exhibée, les cuisses écartées, mon anatomie la plus intime offerte à leurs regards. C'était ignoble... Comme beaucoup de Française, je ne pouvais m'empêcher d'éprouver malgré moi quelques sentiments vaguement raciste... Vivre avec des arabes, les avoir comme clients, voir même comme relations ne me posait aucun problème, mais être humiliée par eux c'était autre chose... Là, je me sentais vraiment avilie...-*quot;Allez! T'y vas t'y baiser devant nous avec l'aubergine...*quot; me dit Bab-El-Oued en me déposant l'imposant légume sur le ventre.-*quot;Oh non, je vous en prie, je ne pourrai jamais...*quot; suppliai-je avec la gorge nouée et des larmes au bord des yeux.-*quot;Ah, qu'est ce que t'y raconte... Je t'y ai déjà vu acheter des plus grosses que ça... Allez... Enfile toi là et bien à fond!*quot;. Et sourd à mes supplications il guida lui même mes mains pour me faire me saisir du gros légume et le diriger entre mes cuisses écartées... Je sentis le contact de la grosse extrémité de l'aubergine contre ma vulve... C'était doux, lisse, mais vraiment très gros!... Il n'avait pas lâché mes mains et continuait à les guider pour me faire me pénétrer du gros légume... Je sentis mes lèvres humides s'amollir lentement, s'arrondir, s'ouvrir... Et c'était là le plus humiliant pour moi, car l'aubergine était assez grosse pour que si je me l'introduisais, ils aient la preuve que ce n'était pas la première que je m'enfilais là et que pour être ouverte ainsi je ne pouvais être qu'une vraie salope... Et d'un autre côté elle n'était pas assez grosse pour que je n'ai aucune chance d'y parvenir... En somme je savais que j'y arriverais mais le faire c'était un peu comme avouer: *quot;Regardez comme je suis ouverte! Regardez et imaginez les kilomètres de bites que j'ai du prendre pour être aussi accueillante du con! Regardez comme j'aime et comme il me faut de grosses bites!*quot;... Comme une conne, dans un sanglot, je crispai mes deux mains sur le gros légumes et presque involontairement, il s'enfonça en moi... Je pourrais même dire, plongea en moi car en effet, l'aubergine bien lisse, à cause de sa forme renflée du bout s'engouffra d'un coup tout au fond de moi, tout au fond de mon vagin, au plus profond de mon ventre... Et sans pouvoir me contrôler, je jouis!!!...Lorsque je repris un peu mes esprits, j'avais toujours l'aubergine au fond du con mais les trois hommes avaient ôté leurs pantalons... Un rapide coup d??il me fit me rendre compte que pour une fois, les sexes étaient proportionnés à leurs propriétaires (ce qui est loin d'être toujours le cas). Celui de Bab-El-Oued était de taille normale, je dirais de la taille du pénis d'un homme européen moyennement membré. Celui du gros un peu obèse était assez épais, pas très long mais il ne bandait pas encore et le type me le faisait pendre pas loin du visage. Quand à celui du plus costaud, Aie Aie Aie! Un sacré morceau... J'allais déguster!... Une grosse tige bien raide, longue et dotée qui plus est d'un gros gland... Un vrai chapeau de champignon!... J'espérais avoir au moins un petit sursit, que les deux autres voudraient avoir la primeur de mes *quot;charmes*quot;, mais je vis avec un mélange d'horreur et d'appréhension, ce grand arabe venir se placer au bout de la table, la queue dressée entre mes cuisses türkçe bahis écartées. D'un geste il saisit la queue de l'aubergine et me l'arracha presque. Cela fit un ignoble bruit de décapsulage de bouteille, trahissant combien mon vagin était maintenant humide. L'homme s'avança, me regarda bien dans les yeux, fixant mon visage pour tout y lire tandis qu'il allait me pénétrer... Y lire mon plaisir, les sensations que j'éprouverai en sentant sa grosse bite raide me pénétrer et s'enfoncer, s'insinuer, progresser en moi jusqu'au fond de mon ventre, mais pas seulement ça... Je crois en effet qu'il avait parfaitement deviné les sentiments plus ou moins racistes liés à mon éducation, au milieu social dans lequel j'avais vécu jusque là, et il voulait lire aussi dans mes yeux, sur mon visage, la honte et l'humiliation qui serait mienne de me faire pénétrer, baiser, niquer par un zob arabe... Une bite de bougnoul, de bicot... Mais une bite de bicot qui allait me faire jouir... jouir très fort, malgré moi... Car pour mieux m'humilier il voulait que je hurle mon plaisir, que je jouisse en gueulant, en tremblant en bramant comme une bête... En chialant même... Il se savait doué pour le plaisir qu'il savait donner aux femmes. Tout ceci je pouvais quasiment le lire sur son visage; comme s'il me disait à haute voix: *quot;Espèce de petite salope raciste Française, tu vas voir ce que c'est qu'une bite d'arabe!... Je vais te ramoner, te défoncer comme tu ne l'as jamais été... Je vais te planter mon gros zob raide jusqu'au fond du ventre et te baratter à t'en faire monter les ovaires en mayonnaise... Tu vas en chialer, tu n'oublieras jamais ca! Tu regretteras toute ta vie de ne pas t'être fait niquer plus tôt par des bougnouls!*quot;.Dès que son gros gland força l'anneau de ma vulve pourtant déjà bien lubrifié mon corps commença à trembler et le plaisir à monter de façon continue... Hum! Il était gros, raide, et ce gland!!... Je sentais si bien, si fort son va et vient... Moi d'ordinaire pas très démonstrative lorsque je me fais baiser, je me mis, non à gémir comme cela m'arrivait lorsque j'étais bien baisée, mais à crier et gueuler tant le plaisir qui montait était fort... Si fort que j'aurais presque voulu l'arrêter tant cela me faisait peur. L'arrêter parce que c'était si intense que je ne pouvais imaginer que cela puisse continuer à monter, à augmenter... Et pourtant!... En un crescendo incroyable je jouissais, je jouissais à répétition... Un plaisir incroyable irradiait de mon sexe et envahissait mon corps entier. J'entendis le gros dire à Bab-El-Oued:-*quot;Putain! Elle aime la bite ta salope... C'est vraiment l'infirmière du coin?*quot;-*quot;Oui...*quot;-*quot;C'est des bonnes salopes en général*quot; dit-il puis s'adressant au grand qui me baisait de sa bite poignardante, il l'encouragea encore davantage s'il en était besoin...-*quot;Allez! Nique la bien à fond... Défonce lui la connasse à cette petite pute... Eclate là lui, que tout les mecs qui lui passeront entre les cuisses se rendent bien compte qu'elle s'est faite défoncer par de gros morceaux...*quot;. Sans cesser de me limer de sa grosse bite, le grand arabe lui dit:-*quot;Tu sais elle est déjà bien rodée cette salope, je peux te dire qu'elle n'a pas dû souvent chômer de la moule!...*quot;-*quot;Ah la pute!*quot; dit le gros, très excité, et il me plongea sa bite dans la bouche sans me prévenir, au point que j'eus un court moment de panique tant le souffle me manqua. Quand à Bab-El-Oued il regardait et semblait prendre un malin plaisir à tripoter mes nichons trop flasques qui ballottaient au rythme des coups de queue de mon baiseur.Cela dura un sacré moment, me faisant jouir je ne sais combien de fois car les orgasmes furent bientôt si rapprochés qu'ils semblaient se succéder immédiatement et ne faire qu'une jouissance continue... Puis je sentis que mon baiseur n'y tenait plus... Je jouissais si fort sous ses coups de bite qu'il en fut bientôt trop excité. Je sentis sa queue grossir et durcir encore davantage, puis vibrer... Il se recula encore un peu... J'en fus un peu surprise car on ne me l'avait jamais fait... En fait au moment où il sentit qu'il allait jouir, il se recula, ne laissant *quot;que*quot; dix centimètres de sa queue en moi et gicla alors en moi... Je ne peux pas vous dire l'intensité de cela!... Sur les muqueuses rendues très sensibles par son ramonage, sur mon vagin béant, c'est presque sur toute la longueur que je sentis son éjaculation, les lourdes giclées de sperme... C'était une sensation nouvelle pour moi que jamais aucun amant ne m'avait donnée... J'avais bien sûr senti certains hommes éjaculé plus fort et plus abondamment que d'autres mais tous au moment de cracher plantaient leur sexe à fond en moi... Là, c'était très différent, l'intérieur du vagin était très sensible et je sentis les giclées (car trois ou quatre se succédèrent) TOUT AU LONG de mon vagin... Cela multipliait le plaisir par je ne sais combien... Ces salauds, en plus de me quasi violer, venait de me faire découvrir un plaisir nouveau, plus fort, plus intense... Une fois encore, moi la petite Française pas vraiment raciste mais quand même élevée dans cet état d'esprit qui fait considérer tout ce qui vient du Maghreb ou d'Afrique comme *quot;inférieur*quot;, je devais admettre que, si j'avais eu de bons et de moins bons amants blancs, j'avais toujours été superbement baisée par les quelques Arabes ou Noirs que j'avais connus... Ah si ma mère (qui était elle d'un racisme des plus primaires) avait su que sa fille se faisait baiser par des *quot;nègres*quot; et des *quot;bicots*quot; et y prenait un tel plaisir, elle m'aurait traitée de putain et aurait refusé à tout jamais de me revoir...Après un moment de répit, à savourer son plaisir, , mon baiseur se retira entièrement, la bite à peine un peu moins raide, à demi dressée, balançant lourdement et dit à Bab-El-Oued:-*quot;Passe moi une aubergine!*quot;. Celui ci lui tendit l'aubergine qu'il avait précédemment choisie pour moi mais l'autre lui dit:-*quot;Non! Pas celle-là! Une plus grosse... Tu nous a bien dit que cette salope s'en achetait souvent de plus grosses, non?*quot;. Bab-El-Oued sourit et s'approcha, brandissant une aubergine aussi longue que le sexe du grand arabe mais plus grosse encore!...-*quot;Oh non! Oh non!*quot; ne puis-je m'empêcher de gémir et de supplier lorsque je vus la taille du légume, mais ils n'avaient que faire de mes jérémiades. Le gros et Bab-El-Oued me saisirent fermement les cuisses, les ouvrirent encore davantage et güvenilir bahis siteleri l'autre poussa sans ménagement l'énorme aubergine dans mon orifice béant, ruisselant et si sensible du ramonage qu'il venait du subir... A ma propre stupéfaction, malgré son diamètre impressionnant (au moins 7 cm de diamètre!), il m'avait tant défoncée, ouverte, et surtout inondée de son foutre que le gros légume noir réussit à pénétrer... En force, mais pénétra quand même; puis le gros renflement passé, plongea au fond de mon vagin...-*quot;Ah putain quelle salope! Quelle salope! Regardez ça... Une pute après dix ans de bordel à Nègres ne ferait pas mieux...*quot;.Le grand arabe qui avait un peu repris son souffle après ses efforts, le sexe à nouveau très raide, bien bandé, demanda à Bab-El-Oued:-*quot;Elle est enculable ta salope?*quot;. J'eus un sursaut de frayeur:-*quot;Oh non! Non!... Pas ça... Nnnoonnn!!!*quot;. J'essayai de me débattre mais le gros et Bab-El-Oued ne m'avaient toujours pas lâchée et me tenaient, cuisses relevées et écartées. Devant ma résistance ils m'agrippèrent plus fermement encore. Le grand leur prêta main forte en s'avançant entre mes cuisses, qu'il agrippa de ses deux bras solides. Je me sentais impuissante à l'empêcher, j'en avais les larmes aux yeux, son gros gland venait de s'insinuer entre mes fesses, je le sentis bientôt au contact de mon anus et presque aussitôt il poussa... Ses bras m'étreignaient encore plus étroitement les cuisses et son gland poussait, poussait... Oh non!...Non... Il n'allait pas... Ma honte et mon humiliation étaient à leur comble. C'était trop ignoble! Tout les préjugés racistes que j'avais essayé d'enfouir au plus profond de moi, ressortaient soudain... J'éprouvais la honte d'être violée mais être enculée par un arabe, c'était le viol multiplié par mille!... Comme si j'étais avilie, marquée à jamais... Soudain je poussai un cri et éclatai en sanglots: l'énorme gland circoncis venait de faire céder le sphincter sous sa poussée et était en moi... Le type sourit... Même s'il n'allait pas plus loin, il m'avait enculée! Il avait enculé une jeune femme blanche, l'infirmière du village!... Il resta un long moment immobile à savourer le plaisir que lui procurait cet instant... Je fermais les yeux, je n'osais pas les rouvrir, mais je compris bientôt qu'il ne bougerait pas tant que je resterais les yeux clos. Il voulait que j'ouvre les yeux, que je le regarde, que j'affronte son regard... J'avais des larmes dans les yeux quand je finis par céder et ouvris mes paupières... Je pouvais lire dans son regard:-*quot;Tu sens bien mon gros gland salope? Tu sens ton petit cul de salope de Française bien ouvert, écartelé par mon n?ud?...*quot;... Et ce n'est qu'alors, son regard fixé dans le mien pour guetter la moindre de mes réactions, qu'il commença alors à pousser son gros pieu en moi... Sans pouvoir rien faire pour l'en empêcher je sentis sa bite, sa grosse et longue bite s'enfoncer, pénétrer en moi, s'introduire de plus en plus loin, de plus en plus profondément entre mes fesses. C'était comme une pénétration ignoble contre laquelle je ne pourrais rien faire. Non seulement ce *quot;bicot*quot; avait écarté et ouvert mon anus malgré moi mais il m'investissait le cul en profondeur pour bien me faire sentir la longueur de son membre après m'en avoir fait sentir la grosseur. Sans que j'ai absolument rien pu faire pour l'en empêcher, je sentis bientôt toute la longueur de son zob planté dans mon cul, remontant loin au fond de mon ventre... Si j'avais pu en douter, ses grosses et lourdes couilles pendantes étaient là pour me le rappeler en cognant contre mes fesses... Alors qu'il m'avait bien enculée à fond, il se pencha alors encore davantage vers moi et son ventre vint appuyer contre la base de l'énorme aubergine qu'il m'avait enfoncée dans le con... J'en sursautai car sous l'effet de cette poussée, la douleur qui était causée par une aussi forte dilatation, et qui s'était une peu endolorie tant l'orifice était étiré, se raviva soudain... *quot;Ah le salaud! comment ne pas repartir en flèche pour un nouvel orgasme sidéral... et sidérant, à être ainsi défoncée?... Je *quot;décollai*quot; avec la même puissance que si j'avais été godée par la fusée Apollo... Je hurlai, me cramponnai aux bords de la table, tandis que l'Arabe commençait à aller et venir à grands coups de bite, sans marquer le moindre répit, et de toute la longueur de son sexe... Il poussait de *quot;Han!.. Han!...*quot; de bûcheron, et bientôt, entre deux râles, il dit:-*quot;Putain! Elle est bonne cette salope, elle aime ça la bite!...*quot; A chaque assaut son gros et long membre m'électrisait littéralement le cul, quand à son ventre qui venait cogner l'énorme aubergine, je ne vous dis pas... J'en avais la vulve si écartelée que l'on aurait pu y introduire deux mains...-*quot;Alors salope? C'est bon hein?*quot; me dit Bab-El-Oued en se penchant sur moi avec un sourire mielleux, *quot;tu prends ton pied là hein salope! J'suis sûr que tu vas en devenir folle des Arabes... T'inquiète pas, on va parler d'toi... Tu connais le camp de Harkis à Roanne? On y a beaucoup d'amis, on leur parlera de toi, tu vas voir, tu y sera souvent appelée... T'es vraiment une belle cochonne... T'es toute mignonne et mince, toute proprette et regarde un peu cette ouverture de chatte que t'as!... T'as dû t'en faire mettre un sacré paquet de bites, hein salope?... Et pas des petites hein... Ca s'voit que t'aimes les grosses toi!... R'garde moi un peu c'que t'as dans l'con!*quot; et afin que je vois mieux, il me souleva la tête... Je vis mes grosses lèvres écartelées; arrondies en anneau autour de l'énorme aubergine; elles étaient rouges, congestionnées par les assauts que je subissais... Et au dessous la grosse et longue queue de l'autre allait et venait toujours dans mon cul... Je repartis pour un nouvelle orgasme... Il en profita pour se vider une seconde fois les couilles, dans mon cul cette fois, puis s'écroula sur moi, vidé, exténué, sans souffle... Tout comme moi!Lorsqu'il la ressortit, sa queue avait perdu de sa raideur mais était toujours aussi grosse, longue et congestionnée. Il voulut que je la suce... J'obéis de bonne grâce... Alors commença une série de longues fellations, je dus les sucer, les pomper, les lécher l'un après l'autre, longuement... Pendant ce temps ils m'avaient fait m'installer, cuisses relevées et ouvertes pour *quot;jouer au Docteur*quot; comme ils disaient... En fait ils me tripotaient la chatte et le cul, me doigtaient; ils finirent même par me fister de leur main... Et dans l'état où était mon vagin, ce fut quelque chose!...Trois jours durant il me fut impossible de supporter le contact d'une culotte tant mon entrejambes était irrité et sensible..._
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